Passé 40 ans, les situations de vie de chacun évoluent. Par exemple, une progression professionnelle engendre des revenus supplémentaires. Ces dernières induisent par la suite une fiscalité plus soutenue en conséquence.
Des réflexions quant aux meilleures opportunités d’investissement et de réduire ses impôts peuvent alors intervenir chez les quarantenaires.
De multiples possibilités offertes
En fonction de vos objectifs, il est important de bien négocier ce tournant important dans votre vie. Si le crédit de votre résidence principale court toujours, il peut être intéressant d’accélérer le remboursement de votre encours. En effet, il se pourrait que votre capacité d’emprunt ait augmenté avec l’augmentation de vos revenus. Dans ce cas, vous pourriez profiter du rehaussement de ces seuils pour vous décharger du crédit plus rapidement.
Si votre résidence principale est totalement payée, vous êtes peut-être en recherche de solutions d’investissement. Votre objectif est simple, générer des revenus complémentaires et vous constituer un patrimoine supplémentaire. En parallèle, de nombreux quarantenaires font face à des contraintes fiscales nouvelles, du fait de l’augmentation de leurs revenus. La charge d’impôts à payer est en augmentation et ces personnes sont attentives aux différents dispositifs de défiscalisation disponibles sur le marché.
Pour toutes ces situations, la loi Pinel se présente comme une opportunité idéale. Le dispositif permet dans un premier temps de réaliser un investissement immobilier locatif dans l’optique de générer des revenus complémentaires. Il offre aussi des réductions d’impôts qui peuvent atteindre 21 % du coût total de l’acquisition.
Un coup de pouce pour les donations
Si vous souhaitez donner un coup de pouce à vos enfants et petits-enfants, sachez que le système de donation pourrait temporairement permettre d’accéder à un abattement fiscal sous certaines conditions.
C’est en tout cas ce que traduit une annonce du ministre Bruno le Maire en avril 2021. Il déclarait alors travailler sur un dispositif provisoire d’allègement de la fiscalité des donations de 10.000 € à 20.000 €. Lire aussi : Dons aux petits enfants : vers une nouvelle exonération ?
Cette aide fiscale doit ainsi permettre de soutenir les plus jeunes face à la crise sanitaire actuelle.