La rentrée de septembre 2022 a compté 2 935 000 étudiants inscrits au sein de l’enseignement supérieur français. Parmi eux, 1 996 000 (1) ont quitté le domicile familial dans le cadre de leurs études. En résidences dédiées, seulement 464 571 (2) places sont proposées par les gestionnaires, soit 23,3 % du besoin comblé.
Il reste donc 76,7 % d’étudiants contraints de trouver un logement hors du parc dédié, dans un contexte où la majorité des villes étudiantes françaises sont en situation de tension locative avérée.
Au mois de novembre 2023, 2,9 % (3) des étudiants étaient encore sans solution de logement durable. De plus, ces chiffres ne tiennent pas compte des étudiants cohabitants (vivant dans le foyer familial) qui n’ont pas trouvé de logement et vivent par conséquent une cohabitation « forcée ».
Ce phénomène touche tout type de villes, des grandes métropoles françaises (Lyon, Lille, Marseille, Paris…) jusqu’aux plus petites agglomérations (Annecy, La Rochelle, Besançon), en passant par les communes intermédiaires (Nancy, Angers, Tours…).
L'apport des Belles Années
En réponse à ce contexte de pénurie, la société Les Belles Années propose depuis plus de 14 ans, des logements au sein de résidences pensées pour les étudiants, situées en cœur de ville, proches des écoles, campus et services nécessaires au quotidien.
En 2024, les 55 résidences du groupe réparties sur tout le territoire français, représentent 7 621 logements gérés, pour un taux d’occupation de plus de 98 %. Tous les ans, l’entreprise se fixe comme objectif d’ouvrir de nouvelles résidences et afin de renforcer son implication sur le marché du logement étudiant.
Ainsi, plusieurs résidences sont cette année proposées aux investisseurs au sein de villes étudiantes telles que Marseille, Nancy, Lille, Villeneuve d’Ascq, Nice, Annecy ou encore Besançon, où le logement étudiant subit un déficit particulièrement important.
Saisir les besoins du marché pour mieux y répondre
Le groupe Les Belles Années réalise des études de marché régulières pour mieux appréhender et anticiper localement les tendances. Les constructions de nouveaux campus, écoles, lignes de transports ou encore l’augmentation des effectifs étudiants, sont ainsi scrupuleusement observées et prises en compte. Ce travail préalable permet de garantir par la suite aux investisseurs, l’achat de biens pérennes, aux prestations de qualité et en parfaite adéquation avec la demande.
Les Belles Années ont ainsi récemment choisi Marseille et Annecy où le contexte de tension locative s’avère particulièrement prégnant. Cette situation est notamment due au tourisme et à son
incidence sur le parc de logements disponibles à la location.
Ces conditions propices à une nouvelle implantation de résidence au cœur de la cité phocéenne, pourraient être accentuées par la construction du nouveau campus Omnes éducation. Situé dans le secteur de la Porte d’Aix, il accueillera 2 600 étudiants à l’horizon 2026, au sein d’écoles supérieures privées de management, d’ingénierie, de communication et de sciences politiques.
La future résidence des Belles Années, nommée CAMPUS 55, se situera à seulement 18 min de métro* et 14 min à vélo* de ce campus.
Quant à Annecy, bien que démographiquement inférieure, tant en nombre d’habitants qu’en nombre
d’étudiants, elle n’en demeure pas moins elle aussi sous tension locative. Comme Marseille, il s’agit d’une ville touristique touchée de plein fouet par un déficit de logements à louer, y compris pour la population étudiante.
Les Belles Années ont ainsi judicieusement sélectionné ce territoire pour la résidence EVERLAKE et ainsi contribuer à combler ce manque.
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Sources :
(1) Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Note Flash n°12– Juillet 2023 sur les effectifs de la rentrée 2022-2023 | Estimation étude OVE 2020 à 68 % d’étudiants décohabitants (vivant hors de la cellule familiale durant les études).
(2) MENESR – DGESIP – DGRI- SIES, OVE 2020 et opérateurs, France métropolitain